fantasme : 'révélation 2'

Mardi 30 septembre 2 30 /09 /Sep 14:43

fantasme : "révélation 2"

Une fois que je me suis rendu compte que la lingerie avait cet effet sur moi, je passai mon temps à espionner les amies de ma mère et mes tantes. Il n'y avait qu'elles pour porter de la lingerie, les filles de mon âges ne portaient que des socquettes et commençaient à porter des pantalons à pattes d'éléphant.

Mon plus grand plaisir est de surprendre un peu de dentelle, des plis sur les bas, signe qu'il y a une jaretelle au bout du bas et le summum, la cerise sur le gâteau, l'éffeuillage, le remontage de jupe pour rattacher les bas.

Ce que j'ai pu louer le fait que les jaretelles n'étaient pas parfaites!

Lorsque j'arrivais à satisfaire mon goût du voyeurisme, il m'arrivais de me faire jouir 2 à 3 fois de suite, je commençais devenir le plus gros consommateur de papier toilette à la maison.
Cahin caha, je faisais mon apprentissage du sexe.

Un autre évènement allait modifier à jamais ma vie sexuelle.

En général, tous les week-end, nous allions chez mes grands-parents paternels (agriculteurs) pour permettre à mes parents de les aider aux travaux de la ferme.
Après une semaine de maladie (j'ai de gros problèmes pulmonaires) mes parents décidèrent qu'il valait mieux que je reste à la maison et ils demandèrent à Rachelle, l'amie de l'épisode n°1 de veiller sur moi et de passer au moins une fois dans la journée pour me préparer à manger et voir si tout allais bien.

Le samidi matin, après le départ de mes parents et de mes frères, je me mis à faire les devoirs qu'un de mes amis m'avait apporter à faire pour le lundi suivant.
En pyjama, absorbé par mon travail, je n'entends pas arriver Rachelle qui arrive derrière moi en silence et qui dépose un bisou sur mes cheveux. Je sursaute comme si l'on m'avait branché sur du 10000Volts et je tombe de ma chaise à ses pieds.

En tournant la tête, j'ai une vision du dessous de sa jupe qui déclenche immédiatement une érection qui déforme à l'horizontale mon pantalon de pyjama. Je deviens rouge comme une pivoine, j'essaie de me relever en essayant de masquer mon érection sans grand succès lorsque je remarque que l'amie de la famille a les yeux rivés sur mon entre jambe.
Lorsque mes yeux accrochent les siens, elle prit elle aussi une couleur rose.
Elle s'écarte rapidement pour me laisser m'assoir.

- bonjour Olivier, je m'excuse de t'avoir surpris comme cela, tu n'as pas trop mal j'espère?

- pas mal du tout, tatie (j'ai bien envie de lui dire que ce qui me faisait mal était de ne pas me soulager là, sur place et sur ses bas)

- je vois que tu es en train de travailler, je vais te laisser tranquille, je reviendrai plus tard pour te faire à manger

La dessus elle se rapproche de moi pour me faire un bisou, rouge à lèvres sur les joues tout en regardant mon sexe qui était resté au garde à vous.
Après son départ, il n'était plus question que je retourne à mes cours, j'étais encore parti à ne rien faire.

Tout en pensant à Rachelle, je me saisis de mon sexe et commençai à me masturber. Quel plaisir de voir fuser mon sperme, étant tout seul, je ne me suis pas gêné pour crier.
Ne voulant plus travailler et pensant toujours à elle, je tournai dans la maison.
Mes périgrinations me firent entrer dans la chambre de mes parents et je m'approchai de l'armoire de ma mère.

En ouvrant les tiroirs, je tombai sur ses dessous
Toucher la dentelle m'électrisa, le contact soyeux m'incita à aller plus loin.
Je décidai d'étaler devant moi les dessous pour mon plus grand plaisir.
Pour éviter d'être surpris à fouiller dans les affaires de ma mère et pour qu'elle ne remarque pas ma curiosité, je notai la façon de plier et l'ordre des affaires que je prenais.
Devant mon trésor, je pris conscience que j'avais envie de voir l'effet que cela faisait de porter de la lingerie.

En 2 secondes je me suis retrouvé nu :
- je pris le porte jartelles et voulu l'accrocher par derrière, pas facile! j'ai trouvé l'astuce en l'accrochant par devant et en le faisant tourner pour faire passer les crochets dans le dos. Encore heureux qu'il y avait 3 rangées de crochets car je n'ai pas le même tour de taille que ma mère.
- le plus difficile a été de sortir les bas de la poche et de comprendre comment ils étaient pliés.
- je m'assis sur le lit pour retrousser le 1° bas et commencer à l'enfiler par le bout du pied comme je l'avais vu faire de nombreuse fois. Quelle sensation du bas qui remonte sur la jambe, l'extase!
Une fois le bas remonté je le fixai aux 3 jaretelles en mettant bien la couture au milieu de la jambe.
Je refis la même opération pour la 2° jambe
Une fois terminé, je me mis devant la glace de l'armoire pour apprécier le résultat. Je me trouvai beau et excitant.
Je n'eu pas trop de chance avec les culottes, elles étaient trop grandes pour moi, dommage!

Le plaisir était tel que je décidai d'aller plus loin
je passai sur le porte jartelle un jupon large, sur le jupon j'enfilai une robe à jupe ample.
En me regardant dans la glace je me trouvai féminine et surtout, pour la première fois depuis longtemps, je me sentais bien.

A 15 ans, au niveau des pieds je faisais du 38 et je testai les escarpins à talons hauts de ma mère, elle devait faire du 39 ou du 40 car mes pieds glissaient dans les chaussures.
Marcher avec ces chaussures n'a pas été facile, il fallait que je me tienne aux murs pour me déplacer.

J'étais tellement bien que je décidai de continuer ma transformation et je me dirigeai, non sans mal jusqu'a la coiffeuse de ma mère pour me maquiller.
Fond de teint, rouge à lèvres, fard et bleu aux yeux me donnèrent une image, peut être de clown, mais un clown pas mal féminin.
Avec mes cheveux longs bouclés (à la mode dans les années 70), je pouvais passer, c'était l'image que je voulais me donner, pour une femme qui pouvais plaire.

J'avais un plaisir continuel et je remarquai que ce plaisir ne s'accompagnait pas d'une réaction au niveau de mon sexe.
Pour tout cela, le temps avait passé, je jouais à la femme d'intérieur, je me faisais mon cinéma.

Je mis de la musique, j'enlevai les chaussures par précaution et je me mis à danser, en tournoyant pour faire apparaitre mon jupon et la lisière des bas.

Dans mon dos un cri, je me retournai, médusé, enfer! j'avais oublié Rachelle

- Olivier que fais tu comme cela?

-......